Nouvelles - Economie

Le nouveau ministère de l’Élevage du Nigéria vise à réformer le secteur, accroître la productivité et créer des opportunités d’exportation pour les produits d’origine animale.

Les prix mondiaux du maïs, du sorgho et de l’orge ont baissé d’un mois sur l’autre en juin, tandis que les prix du blé ont augmenté.

Cette hausse est due à l’augmentation des prix dans toutes les catégories de viande, à l’exception de la volaille.

L’approbation de 23 abattoirs porcins supplémentaires ouvre de nouvelles opportunités commerciales pour certains produits porcins américains.

Les envois vers la Chine augmentent de 10 %, tandis que les exportations vers d'autres destinations comme le Japon ou le Royaume-Uni diminuent.

Les trois principaux abattoirs contrôlent 51 % du total des abattages dans le pays, soit une baisse de 7 % par rapport à l’année précédente.

Le Parlement européen soutient la hausse des droits de douane sur les engrais et produits agricoles russes et biélorusses pour réduire la dépendance aux importations.

La Commission européenne avance vers une PAC plus simple avec des propositions ciblées sur les contrôles, la conditionnalité et la gestion des risques.

Les exportations porcines de l'UE se stabilisent en 2024 à 4,21 Mt, bien en dessous du record de 2020, marquées par la reprise chinoise et des changements dans les destinations.

Dans son dernier rapport "Livestock and Poultry: World Markets and Trade", publié le 10 avril, l'USDA projette une légère croissance de la production mondiale de viande porcine pour 2025, accompagnée d'une légère baisse des exportations mondiales, malgré la hausse notable attendue des expéditions en provenance du Brésil.

Les importations de porc devraient rester similaires en 2025, tandis qu’une légère augmentation des exportations est attendue.

Le Canada renforce son programme Agri-stabilité en réponse aux droits de douane imposés par la Chine sur les produits agricoles et alimentaires canadiens.

Les ministres de l’Agriculture de l’UE soulignent la nécessité d’une PAC forte, de revenus équitables pour les agriculteurs et d’une innovation durable afin de garantir l’avenir du secteur agroalimentaire.

La France expérimente un affichage public indiquant la rémunération des producteurs pour informer les consommateurs et améliorer la transparence des prix.

Les prix à l’exportation du blé, du maïs, de l’orge et du sorgho ont augmenté tandis que l’indice FAO des prix du riz a diminué.

Les prix de la viande de porc ont baissé, sous la pression de cotations plus faibles dans l'Union européenne.

L’enquête antidumping sur les importations de porc de l’UE se poursuit.

La transformation du soja bat des records en décembre, confirmant la bonne activité de l'industrie. La forte demande de maïs stimule encore davantage les expéditions de cette céréale, qui prennent le dessus sur les exportations de blé.

La présidence polonaise donne la priorité à la durabilité agricole et à la transition écologique dans l'UE, mettant l'accent sur les réformes de la PAC et la biodiversité.

La production de viande a augmenté pour la première fois depuis 2016, après sept années consécutives de baisse.